Pourquoi l'OUBLI ?
Que devons-nous oublier et de quoi devons-nous nous souvenir, et l'oubli peut-il aussi être une force pour le bien ? Les rédacteurs s'interrogent.
Que devons-nous oublier et de quoi devons-nous nous souvenir, et l'oubli peut-il aussi être une force pour le bien ? Les rédacteurs s'interrogent.
Mai Al-Nakib explore la mémoire, l'oubli et l'écriture à travers les lentilles de Woolf, Proust et un film de Wim Wenders.
Se souvenir et célébrer ce qui est ancien, nouveau, détruit, effacé et mort en Palestine : un choix artistique personnel de l'artiste gazaoui Hazem Harb pour faire face à cette guerre terrifiante et abominable.
Les photographies d'Iraquiens laissent entendre que la violence générationnelle est une fatalité, même si les images sont joyeuses.
Revendiquant un passé qui n'a jamais existé dans la ville, la nostalgie envahit les habitants d'Alexandrie, écrit Mohamed Gohar.
Saleem Haddad revient sur l'histoire de la famille Sawalha qui offre l'espoir de la résilience, de la résistance et de la survie contre vents et marées.
Brittany Landorf passe en revue le premier grand film de la réalisatrice Asmae El Moudir, l'entrée du Maroc dans la course aux Oscars 2024.
Youssef Rakha revient sur sa fascination pour Sargon Boulos qui a su vivre l'arabité poétique en exil comme personne d'autre ne l'a fait.
Revisitant ses souvenirs de la révolution égyptienne du 25 janvier, Asmaa Elgamal constate que le refus du bon sens est la pire des oppressions.
La nouvelle égyptienne traduite par Areej Gamal met en scène une plante en pot et un amour interdit qui s'entremêlent, avec un dénouement inattendu.
Un premier regard approfondi sur le système carcéral syrien où les prisonniers subissent des niveaux inimaginables de violence et de torture.
La langue, le genre, la classe, la race et la géographie façonnent la citoyenneté du Maroc d'aujourd'hui, affirme Brahim El Guabli dans son dernier livre.
L'assaut contre Gaza est l'offensive israélienne la plus longue et la plus meurtrière à ce jour, et la pire en ce qui concerne le ciblage des journalistes et de leurs familles.
Les sanctuaires de Palestine font partie d'un patrimoine qui a été intentionnellement effacé depuis la Nakba de 1948, écrit Gabriel Polley.
Le livre de cuisine palestinienne de Fadi Kattan est un recueil de souvenirs personnels et familiaux, de faits intrigants et d'émotions, écrit Mischa Geracoulis.
Il est évident que nous n'oublierons jamais, mais la manière de procéder pour "ne pas oublier" n'est pas claire, écrit Reem Alghazzi à propos de son expérience de la révolution syrienne.
Nashwa Nasreldine explore l'importance de s'accrocher aux tentatives ratées de capturer des moments fugaces pour le bien de nos âmes et de la poésie.
Considéré internationalement comme l'un des plus grands écrivains turcs, Oğuz Atay (1934-1977) n'a pratiquement pas été traduit en anglais.