Littérature et arts du centre du monde
Kamin Mohammadi (aucun lien de parenté) a lu le nouveau livre de Narges Mohammadi, alors que l'auteure se trouve dans la prison d'Evin, incapable de rejoindre sa famille.
Des expressions d'amour en arabe, persan, hébreu, turc et kurde, pour donner un nouveau sens à la Saint-Valentin.
Jennifer Hattam passe en revue "After the Birds : Utopia" au musée Sadberk Hanım d'Istanbul - une exposition inspirée par les réfugiés.
Amal Ghandour, auteur de "This Arab Life", jette un regard pénétrant sur les fardeaux du Liban, notamment l'effondrement économique et l'impasse politique.
Evelyne Accad critique un nouveau livre sur les femmes libanaises et la guerre, un recueil d'histoires orales racontées en arabe et traduites par Malek Abisaab.
Dans sa chronique Sudden Journeys de février, Jenine Abboushi déploie le désert et les montagnes jordaniennes dans le Wadi Feynan.
Le critique parisien Brett Kline trouve que la dernière saison de "Fauda" manque de vraisemblance ce qu'elle compense par la violence.
Viola Shafik a vu plusieurs longs métrages arabes post-thawra qui véhiculent une vision sombre et dystopique du présent.
Lauréat du prix Pultizer pour sa pièce "Disgraced", Ayad Akhtar est l'actuel président de PEN America et l'auteur du roman "Homeland Elegies".
Dunya Mikhail est lauréate du prix Sharjah de l'UNESCO pour la culture arabe et a également reçu le prix des droits de l'homme des Nations unies pour la liberté d'écriture.
La poète immigrée Mihaela Muscaliuc a erré pendant la moitié de sa vie, loin de sa Roumanie natale, et est toujours en mouvement.
Des avocats irakiens et des militants d'une ONG basée à Bagdad se sont efforcés de mettre fin aux crimes d'honneur, mais n'ont pas pu aider Tiba al-Ali, rapporte Malu Halasa.
L'écrivain-photographe Susan Schulman documente la dévastation climatique qui a poussé de nombreux Irakiens à l'exil.
Une liste des romans irakiens à lire absolument, de "Frankenstein à Bagdad" d'Ahmed Saadawi à "The Book of Collateral Damage" de Sinan Antoon.
Un extrait du roman d'Inaan Kachachi qui déplore l'éparpillement des Irakiens à travers le monde en raison de la guerre et de l'oppression politique.