Assassinat à Malte : Comment ils ont tué ma mère
Teodor Reljić critique le livre de Paul Caruana Galizia dans lequel il dissèque le statu quo maltais qui a conduit à l'assassinat de sa mère journaliste.
Teodor Reljić critique le livre de Paul Caruana Galizia dans lequel il dissèque le statu quo maltais qui a conduit à l'assassinat de sa mère journaliste.
Bavand Karim critique le film "Holy Spider" d'Ali Abbassi qui déconstruit froidement la nature brutale du patriarcat religieux iranien.
Sofia Samatar et Kate Zambreno se livrent à une pratique collective de lecture et d'écriture pour saisir le ton littéraire, écrit Safa Khatib.
Les rédacteurs de The Markaz Review recommandent plusieurs événements culturels mondiaux.
Antony Loewenstein, lauréat de la plus haute distinction journalistique australienne, présente sa dernière exploration d'Israël et de la Palestine.
Un éditorial du rédacteur en chef, alors que s'achève une année souvent douloureuse, difficile, mais parfois pleine d'espoir.
Il y a des étés longs, langoureux et même dangereux que les Beyrouthins ne peuvent jamais oublier, et celui-ci en fait partie.
Après la guerre, quelques rares survivants font corps avec les éléments, et l'un d'eux se met à écrire des milliers de mots par jour dans une langue inventée.
Dans cette nouvelle de l'écrivain égyptien Ahmed Salah Al-Mahdi, traduite de l'arabe, un homme fait face à sa mortalité sur son lit de mort.
Dans cette nouvelle de Maryam Mahjoba, une enseignante japonaise se rend en Afghanistan pour enseigner dans une école de filles.
Brisant les stéréotypes selon lesquels leur pays ne connaît que la guerre, les femmes afghanes continuent d'écrire malgré les talibans, écrit Lillie Razvi.
Comme le rappelle cet écrivain du Khuzestan, la longue guerre Iran-Irak a laissé de nombreuses traces, noms et fantômes dans son sillage de huit ans.
Un extrait exclusif du dernier roman de Mohammed Abdelnabi, "Almost Every Day", traduit de l'arabe par Nada Faris.
Extrait exclusif de "A Brief Time Under a Different Sun" de Huda Fahreddine, traduit de l'arabe par Rana Asfour.
Sophie Kazan Makhlouf commente le dernier ouvrage de Venetia Porter, qui propose une analyse de plus de 60 livres d'artistes de la collection du British Museum.