LA Story : Poèmes de Laila Halaby
Poète et romancière, Laila Halaby écrit son expérience de Los Angeles dans une cascade de mots qui capturent de manière indélébile des moments et des souvenirs.
Poète et romancière, Laila Halaby écrit son expérience de Los Angeles dans une cascade de mots qui capturent de manière indélébile des moments et des souvenirs.
Le musicien-compositeur Dimitris Mahlis célèbre les multiples traditions du oud en offrant aux auditeurs de TMR deux taksim méditatifs.
Le dramaturge et directeur de théâtre Reza Abdoh a laissé son empreinte sur la culture théâtrale de Los Angeles et du pays, comme le raconte l'actrice et scénariste Juliana Francis Kelly dans son retour sur leur collaboration.
L'écrivain et réalisateur Bavand Karim médite sur l'identité irano-américaine et sur une vision alternative de la réalisation de soi dans le contexte du mouvement ethno-futuriste.
Une fille égypto-américaine se souvient de l'amour durable que son père immigré vouait à Los Angeles et au rêve américain.
L'art de Farzad Kohan est un pont et un commentaire sur ses mondes iranien et américain, parfois convergents, parfois en collision.
L'artiste et écrivain Micaela Amateau Amato utilise l'art et les mots pour créer des façons uniques de transmogrifier le monde.
L'artiste irano-américaine Amitis Motevalli donne des cours de danse « baba karam », une caricature de la danse dure de la rue appelée « jahel », souvent exécutée par des femmes travesties pour commenter les contraintes de genre et de classe.
L'artiste marocain, français et américain Rachid Bouhamidi partage son amour du portrait en épluchant les couches de ses amis avec des huiles sur bois.
Dans cet extrait du roman jordanien interdit « Laila », présenté par Rana Asfour et traduit par Hajer Almosleh, les lecteurs ont une idée de la prose et du propos de Fadi Zaghmout.
Arie Akkermans passe en revue les expositions d'un Américain irakien qui tente de recréer les artefacts disparus et détruits du Musée national d'Irak après l'invasion américaine de 2003.
Jordan Elgrably critique le récent long métrage des réalisateurs Rana Kazkaz et Anas Khalaf.
Deborah Williams, professeur à Abu Dhabi, compare la nouvelle censure américaine de « Maus » et l'autodafé des livres d'Harry Potter avec son propre programme d'enseignement potentiellement incendiaire.
Tout Arabe à sang chaud aime une bonne théorie de la conspiration, tout comme, d'ailleurs, de nombreux Américains, observe le critique culturel Mike Booth.
Le poète amazigh marocain El Habib Louai passe en revue une anthologie récente qui a réchauffé le cœur des Marocains lecteurs d'anglais pendant la pandémie.