Un siècle de Sergei Parajanov : le magicien des mondes cinématographiques
William Gourlay revisite les œuvres du cinéaste arménien Sergei Parajanov, qui a créé des moments cinématographiques à travers l'Europe, le Caucase et l'Asie occidentale.
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Laëtitia Soula rend compte d'une manifestation syndicale française qui a présenté l'écrivain et éditeur anticolonialiste Alain Gresh.
Bien que tragique et horrifiant, "En direct de Gaza" de Hossam Madhoun est un témoignage de première main inestimable sur la guerre à Gaza.
Chloé Benoist, journaliste et rédactrice en chef française, raconte son séjour en Cisjordanie.
Quatre rédacteurs de The Markaz Review partagent certains des titres les plus attendus publiés en 2024.
Sophie Kazan Makhlouf revient sur la première exposition personnelle d'Alia Farid au Royaume-Uni, qui fait le lien entre les traditions locales et les migrations mondiales.
Au-delà de la lassitude de la guerre, Jamaluddin Aram dépeint l'Afghanistan des années 1990 dans son premier roman, écrit Rudi Heinrich.
Dans ce récit traduit par la première dame de la littérature courte de Palestine, la technologie la plus récente fait payer un lourd tribut à des personnes en avance sur leur temps.
Le romancier Négar Djavadi s'appuie sur la non-fiction pour remettre en question l'abattage par l'Iran d'un vol international au départ de Téhéran.
Alors qu'une centrale solaire envahit une ville du désert marocain, reconfigurant sa configuration visuelle et territoriale, il est à craindre qu'elle n'éclipse sa riche histoire culturelle.
Après avoir combattu en Irak et publié "Here, Bullet", Brian Turner a consacré sa vie à la poésie et en tire un riche bilan.
Sarah Ghazal Ali, jeune poétesse primée, partage trois poèmes de son livre "Apotheosis" publié par les éditions Alice James.
La guerre nous rappelle que les Palestiniens sont aussi des artistes et pas seulement des gens qui périssent sous les bombes et les mortiers.
L'enfer se poursuit dans une guerre sans fin, mais avec son esprit de résistance (sumud en arabe), le peuple palestinien reste plein de ressources, remarquable et surtout plein de bonté.
Arie Amaya-Akkermans s'entretient avec des artistes libanais et chypriotes au sujet de leur travail sur l'île divisée de Chypre.