Pas oubliés, pas (tous) effacés : Les sanctuaires sacrés de Palestine
Les sanctuaires de Palestine font partie d'un patrimoine qui a été intentionnellement effacé depuis la Nakba de 1948, écrit Gabriel Polley.
Les sanctuaires de Palestine font partie d'un patrimoine qui a été intentionnellement effacé depuis la Nakba de 1948, écrit Gabriel Polley.
L'œuvre de Malak Mattar que l'on retrouve à la Biennale de Venise est une expérience multisensorielle qui demande à être ressentie, écrit Nadine Nour el Din.
L'œuvre de Bani Khoshnoudi est souvent habitée par le déplacement et le déracinement, et explore les thèmes de l'exil, de la modernité et de ses violences, de la mémoire et de l'invisible.
Les rédacteurs de TMR mettent en lumière les meilleurs événements, livres, films, podcasts et autres produits culturels du monde entier.
Hadani Ditmars évoque les appels à la fermeture du pavillon israélien à la Biennale de Venise et l'éventualité d'un boycott généralisé des artistes.
Deux expositions sur la Libye tentent naviguent dans les vestiges du passé pour déterminer ce qui est à garder et ce qui est à brûler.
Une jeune Palestinienne-Américaine essaie de trouver comment échapper à la douleur avec une série d'images fortes sur le traumatisme de Gaza.
La commissaire Nadine Aranki présente des affiches d'artistes, d'écrivains et de graphistes, nouveaux ou confirmés, au service de la justice sociale pour la Palestine.
En entretien avec Naima Morelli, six artistes femmes et la conservatrice Nadine Khalil explorent les corps féminins tels qu'elles les ont mis en lumière dans leur exposition à Dubaï.
Arie Amaya-Akkermans s'entretient avec des artistes libanais et chypriotes au sujet de leur travail sur l'île divisée de Chypre.
Nada Ghosn parle des voix censurées et annulées, dont beaucoup ont appelé à la fin de l'assaut contre Gaza.
Malu Halasa analyse le dernier livre d'Anahita Ghabaian Etehadieh sur les femmes photographes iraniennes, ainsi que deux nouveaux ouvrages dans la même veine.