Des artistes palestiniens réfléchissent au rôle de l’art en période de catastrophe
Des artistes multimédias et du spectacle vivant se réunissent à Marseille pour la 8e Biennale "Sin", sur la façon d'être un artiste palestinien après le 7 octobre.
Des artistes multimédias et du spectacle vivant se réunissent à Marseille pour la 8e Biennale "Sin", sur la façon d'être un artiste palestinien après le 7 octobre.
L’artiste à l’honneur en novembre 2024 est le sculpteur germano-irakien Lin Mai Saeed, aujourd’hui décédé, dont une grande partie de l’œuvre célébrait le monde animal.
Naima Morelli présente quatre artistes qui mettent en valeur le rôle des animaux dans l'art en tant que symboles, acteurs ou tout autre chose.
Quatre artistes choisissent leurs animaux, oiseaux et poissons comme source d'inspiration, de mise en garde ou de métaphore.
L’artiste Manal Mahamid nous fait part de l’évolution de son exposition, La gazelle palestinienne, en réfléchissant au paradoxe du colonialisme.
Après un an de guerre à Gaza, les signes, symboles, œuvres d'art et visuels provenant de Palestine ou les évoquant continuent d'être interdits, ignorés ou rejetés.
L’arrachage des oliviers par Israël est à la fois un acte symbolique et concret, privant les Palestiniens de leur droit à un logement, à la sécurité et à la dignité.
Un artiste de renommée mondiale estime que le photojournalisme citoyen permet aux communautés de raconter leurs propres histoires, ce qui lui confère un pouvoir considérable.
Camps de réfugiés, contrôle et vies dépossédées par les artistes Heba Tannous, Mahmoud Alhaj, Tayseer Barakat, Alaa Albaba et le photographe Iason Athnasiadis.
Festivals de cinéma et de photographie, concerts, art, comédie, conférences... Les TMR World Picks couvrent toute la gamme et sont sélectionnés par nos rédacteurs.
Une exposition à Mimosa House aborde les questions urgentes et non résolues auxquelles sont confrontées les femmes, les personnes homosexuelles et les personnes transgenres dans le monde entier.
Les sanctuaires de Palestine font partie d'un patrimoine qui a été intentionnellement effacé depuis la Nakba de 1948, écrit Gabriel Polley.
L'œuvre de Malak Mattar que l'on retrouve à la Biennale de Venise est une expérience multisensorielle qui demande à être ressentie, écrit Nadine Nour el Din.
L'œuvre de Bani Khoshnoudi est souvent habitée par le déplacement et le déracinement, et explore les thèmes de l'exil, de la modernité et de ses violences, de la mémoire et de l'invisible.
Les rédacteurs de TMR vous partage leurs coups de coeur : événements, livres, films, podcasts et autres manifestations culturelles dans le monde entier.