Les coups de cœur de la rédaction : 24 novembre - 10 décembre
Les rédacteurs de The Markaz Review recommandent plusieurs des meilleurs événements culturels qui se déroulent actuellement dans le monde.
Les rédacteurs de The Markaz Review recommandent plusieurs des meilleurs événements culturels qui se déroulent actuellement dans le monde.
Joumana Haddad raconte l'histoire vraie d'une jeune femme iranienne à Téhéran, même si elle est véhiculée par la fiction.
Malu Halasa analyse le dernier livre d'Anahita Ghabaian Etehadieh sur les femmes photographes iraniennes, ainsi que deux nouveaux ouvrages dans la même veine.
Bavand Karim critique "The Persian Version", une comédie dramatique américaine de 2023 réalisée et écrite par Maryam Keshavarz.
Pour Gaza, les termes "pause humanitaire" et "cessez-le-feu" risquent de ne pas suffire et pourraient même servir de feuille de vigne pour les déplacements forcés.
Layla Maghribi s'entretient avec Avi Shlaim, historien israélien à Oxford, au sujet de son nouveau mémoire et du conflit israélo-palestinien.
Cory Oldweiler passe en revue trois nouvelles de Ghassan Zaqtan, poète et écrivain né et élevé à Bethléem et basé à Ramallah.
Le photographe de guerre et documentariste Maher Attar ouvre l'Art District à Beyrouth pour favoriser l'émergence d'autres artistes et la beauté.
Une écrivaine libyenne originaire de Derna déplore les inondations qui se sont produites peu de temps après qu'elle ait consacré un recueil de nouvelles à sa ville natale.
Mark LeVine, universitaire de l'université d'Irvine et auteur d'ouvrages sur le Moyen-Orient, met en garde contre le fait que la guerre de Gaza est en train de prendre plus d'ampleur qu'il n'en faut pour négocier.
Les rédacteurs de The Markaz Review recommandent plusieurs événements mondiaux.
Le poète et écrivain Ahmad Almallah a grandi à Bethléem et vit actuellement à Philadelphie.
Le traducteur Kareem Abu-Zeid parle du récent volume New Directions des poèmes traduits du maestro syrien Adonis.
À l'occasion du 40e jour de sa mort, Youssef Rakha replace son confrère Khaled Khalifa dans le contexte des canons littéraires arabes et mondiaux.
La romancière Mai Al-Nakib estime que malgré les bombes et les balles, les voix et les récits culturels arabes sont en train de s'élever et de prendre de l'ampleur.