Mon frère, ma terre : Une histoire de Palestine
Saleem Haddad revient sur l'histoire de la famille Sawalha qui offre l'espoir de la résilience, de la résistance et de la survie contre vents et marées.
Saleem Haddad revient sur l'histoire de la famille Sawalha qui offre l'espoir de la résilience, de la résistance et de la survie contre vents et marées.
La langue, le genre, la classe, la race et la géographie façonnent la citoyenneté dans le Maroc d'aujourd'hui, affirme Brahim El Guabli dans son dernier livre.
Le livre de cuisine palestinienne de Fadi Kattan est un recueil de souvenirs personnels et familiaux, de faits intrigants et d'émotions, écrit Mischa Geracoulis.
Le roman de Wisam Rafeedie raconte la ferveur révolutionnaire des prisonniers politiques palestiniens.
Feurat Alani, romancier français d'origine irakienne, trouve sa voix dans ce va-et-vient entre deux villes, deux langues, deux cultures.
Eman Quotah commente le dernier ouvrage de Fady Joudah, dans lequel le poète s'attaque à l'inadéquation du langage pour transmettre la douleur et l'espoir des Palestiniens d'aujourd'hui.
Adib Rahhal analyse le dernier roman de Hisham Matar, dans lequel la précarité de l'existence et la Libye servent de tremplin.
La critique d'Arie Amaya-Akkermans sur "L'Occident : nouvelle histoire d'une vieille idée", dans lequel Naoíse Mac Sweeney démontre comment le concept de l'Occident a été créé pour justifier le capitalisme.
Katie Logan nous offre sa critique du dernier ouvrage illustré de Lamia Zadié, nous poussant à repenser le concept de la mélancolie.
Nazli Tarzi analyse un livre qui remet en question la vision non critique de l'eyeliner, considéré comme un simple "exercice de vanité", et étudie son utilisation dans de nombreuses sociétés.
Le ton de "Rotten Evidence" est cynique, amèrement drôle et souvent tendre sans jamais être sentimental, écrit Lina Mounzer.
Sean Casey nous livre ses impressions sur le premier roman, surprenant et remarquable, d'Arthur Kayzakian, où il mêle poésie, prose et correspondance.