Interlink propose 4 nouveaux romans arabes
La nouvelle littérature traduite de l'étranger est un motif de célébration.
La nouvelle littérature traduite de l'étranger est un motif de célébration.
La vocaliste originaire de Tunis qui vit à New York a été confinée à Tunis et s'est retrouvée "à retomber amoureuse d'une musique simple, directe et qui vient du cœur."
Fondé en 2018, Bab L'Bluz vient de sortir un premier album époustouflant fusionnant gnawa, blues, rock et chaabi, à ne pas manquer.
Le maître peintre franco-soudanais Hassan Musa est la bombe.
Ce que nous lisons, regardons, écoutons et faisons (commentaires bienvenus).
J'aime Beyrouth. J'y ai vécu plus longtemps que partout ailleurs sur terre. Mais ce qui s'est passé à Beyrouth le 4 août n'est pas du tout mon histoire.
Wajdi Mouawad a secoué le théâtre occidental de ses règles rigides, apportant une approche onirique, des odes à l'énergie de l'enfance et un sens de l'aventure, enracinés dans sa culture libanaise et sa fascination pour les grandes tragédies grecques.
Le Covid-19 ne montre aucun signe d'apaisement, obligeant les villes et certains pays à multiplier les quarantaines et à s'enfermer davantage ; sans musique, cinéma, littérature et événements artistiques, combien de temps pourrons-nous tenir le coup ?
Dans cet essai de grande envergure, l'écrivain revisite la vie avant et après la guerre civile, participe à la révolution libanaise, imagine l'implosion monétaire du pays et contemple l'explosion du port de Beyrouth, tout en évaluant les conditions sociales du renouveau politique du Liban.
Les graphistes Lina Ghaibeh et George "Jad" Khoury, basés à Beyrouth, racontent chacun ce qui s'est passé le 4 août 2020, un jour qui restera dans l'infamie pour les dirigeants du Liban. Mais le peuple, lui, finira par triompher.
Notre premier éditorial annonce notre premier numéro consacré à Beyrouth.
Bouleversé par la violence stupéfiante de l'explosion qui a ravagé Beyrouth en août, le dramaturge et metteur en scène parisien Wajdi Mouawad suggère qu'un forum public mondial doit condamner la classe dirigeante libanaise.
Les Chiliens nous tendent un miroir paradoxal : ils nous montrent le pire de nous-mêmes (l'incurie de nos institutions et le mépris du vivant qui caractérise notre accoutumance au tragique) et le chemin à suivre : le respect de la vie jusqu'à son dernier souffle.
Maalouf trace une ligne entre les années charnières de l'histoire du Moyen-Orient et certains des dilemmes les plus pressants auxquels l'humanité est actuellement confrontée.
Lors de mon récent voyage à la mission de San Luis Obispo, j'ai reconnu la base abandonnée où se trouvait autrefois la statue de Junipero Serra, dans toute sa gloire.