Décoloniser l'art pour le bien de l'art
La critique culturelle et réalisatrice Mara Ahmed déconstruit trois versions d'un opéra-ballet pour aller au cœur du racisme occidental dans les spectacles de danse traditionnels.
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Ammiel Alcalay se souvient d'un original américain : le poète Lawrence Ferlinghetti, qui était aussi l'éditeur et le doyen de la librairie City Lights à San Francisco.
Voyager dans le monde entier, rencontrer des gens, voir des endroits formidables, sans jamais quitter le confort de votre écran… bienvenue dans la pandémie !
Nada Ghosn s'entretient avec la puissante Hanane Hajj Ali, de Beyrouth, qui reçoit un prix international de théâtre de la League of Professional Theatre Women de New York.
Mariem Gellouz et Sélima Kebaïli déconstruisent la francophonie dans le contexte du féminisme tunisien, arabe et africain postcolonial.
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Farah Abdessamad critique Le silence est un sens, le nouveau roman de Layla AlAmmar.
Le mouvement MAGA n'est pas une cause mais une conséquence des politiques du GOP, et sa disparition instantanée avec la disparition politique de Trump est peu probable.
Le chroniqueur Iason Athanasiadis se souvient de 2020 — pas tant pour la pandémie ni le chaos de Trump — pour ce que l'humanité a fait subir à la nature.
Rana Asfour passe en revue un documentaire de Nezar Andary sur le cinéaste et auteur syrien, Muhammad Malas.
Layla AlAmmar nous entraîne au cœur du thriller littéraire d'Adania Shibli, où la vie des Palestiniens n'est qu'un "détail mineur".
"Gamal était convaincu que l'Égypte, mère du monde, allait engendrer une nouvelle ère - lorsque les Arabes, les misérables de la terre, retrouveraient enfin leur place parmi les nations."