Le festival de Bīylmawn au Maroc et la menace de l'attrition culturelle
Le festival de Bīylmawn a récemment fait son retour, mais tout le monde n'est pas satisfait de ce carnaval hautement stylisé et artistiquement réimaginé.
Le festival de Bīylmawn a récemment fait son retour, mais tout le monde n'est pas satisfait de ce carnaval hautement stylisé et artistiquement réimaginé.
Alors qu'une centrale solaire envahit une ville du désert marocain, reconfigurant sa configuration visuelle et territoriale, il est à craindre qu'elle n'éclipse sa riche histoire culturelle.
Brahim El Guabli nous invite à étudier les déserts pour pousser notre réflexion au-delà des notions ordinaires d'espace et de lieu.
Brahim El Guabli affirme que les survivants des catastrophes au Maroc doivent pouvoir communiquer dans leur langue maternelle.
L'universitaire amazigh marocain Brahim El Guabli a appris que sa famille à Ouarzazate avait perdu sa maison dans le tremblement de terre qui a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi.
Brahim El-Guabli explique comment les militants amazighs ont utilisé la traduction pour revitaliser leur langue et leur culture menacées.
Brahim El Guabli, un universitaire marocain noir et amazigh, considère que l'identité amazighe englobe "l'unité fondée sur la diversité".
Les victoires de l'équipe marocaine en Coupe du monde ont galvanisé ses fans arabes et africains et inspiré des millions de personnes dans le monde.
Brahim El Guabli Je suis amazigh, noir et sahraoui. La langue amazighe est ma langue maternelle. Ma mère est noire et mon père est sahraoui. La seule photo que je possède... Continue reading My Amazigh Indigeneity (the Bifurcated Roots of a Native Moroccan)
Brahim El Guabli écrit sur le leader amazigh et résistant Abdelkarim qui a inspiré de grands romans graphiques marocains.