Les coups de coeur de la rédaction : 12 avr.— 26 avr.

12 avril, 2024
Les rédacteurs et rédactrices de TMR vous partagent leurs Coups de coeurs du mois. Envoyez nous vos suggestions : editor@themarkaz.org.

 

TMR

 

Tournage d’une scène de danse à Bas ya Bahar, Koweït, 1971. avec l’aimable autorisation de Khaled Al Siddiq
Tournage d’une scène de danse à Bas ya Bahar, Koweït, 1971 (avec l’aimable autorisation de Khaled Al Siddiq).

The Fluid Gulf : L’héritage multiculturel à travers le cinéma
11 avril, L’Institut du Golfe arabe à Washington DC. Événement hybride. Plus d’infos

Dans les récits sur le cinéma et médias, nous retrouvons souvent des paysages désertiques, des installations de production et de somptueux festivals.

Contrairement à cela, l’anthologie Reorienting the Middle East : Film and Digital Media Where the Persian Gulf, Arabian Sea, and Indian Ocean Meet  (Indiana University Press, 2024),  publiée récemment, nous montre une histoire plus compliquée entre le Golfe, la mer d’Arabie et l’océan Indien. Tout comme ces eaux sont des espaces fluides, il en va de même pour les relations cinématographiques entre l’Asie du Sud-Ouest et du Sud-Est, l’Asie du Sud, l’Afrique du Nord, l’Afrique de l’Est et les États-Unis.

Alia Yunis, co-éditrice du volume et chercheuse invitée à l’AGSIW, et Samhita Sunya, professeure à l’Université de Virginie, y ont examiné le rôle d’Hollywood, de Bollywood et de Nollywood dans les films passés et actuels réalisés sur et au Golfe. Elles ont analysé l'introduction du cinéma dans le Golfe dans les années 1930 par les compagnies pétrolières occidentales ; les premiers films du Golfe produits dans la péninsule arabique à la fin des années 1960 ; l’émergence de Dubaï dans la production cinématographique mondiale ; les réseaux sociaux en tant que vecteur de réalisation de films ; et des films amateurs de citoyens et de migrants qui mettent en lumière des questions sociales rarement abordées.


Elixir Festival : célébrer les arts, la musique et les contes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord
Du 11 avril au 2 mai, Londres.  Plus d’infos

L’émotion a été à son comble pendant la guerre contre Gaza. Le jour de l’Aïd, le 10 avril, on pouvait entendre l’écho des voix et des chants des manifestants pro-palestiniens marchant sur les ponts du centre de Londres dans les rues de Whitehall, le quartier impérial du gouvernement britannique, qui abrite la Chambre des communes et d’autres bâtiments gouvernementaux majestueux du XIXe siècle. Des militants ont jeté de la peinture rouge sur les pierres blanches du ministère de la Défense pour protester contre la vente d'armes à Israël.
 

Cette année,le mois du Ramadan et l'Aïd ont été marqués par la tragédie en Palestine. Tous les soirs à la fin de la prière du soir à la mosquée East London de Whitechapel, l’une des plus grandes d’Europe, les fidèles se souviennent de Gaza. Alors que les gens jeûnaient ici au Royaume-Uni et dans le monde entier, la menace de famine était imminente à Gaza. La mosquée Est de Londres a parrainé des camions d’aide alimentaire, mais comme la plupart de l’aide destinée aux Gazaouis affamés, l’aide a été arrêtée à la frontière. 

Mon informaticien, un jeune homme musulman, m’a dit alors que je lui rendai visite : « Vous savez bien que tous les hommes refoulent leurs émotions. Les femmes s'expriment, mais les hommes jamais. Imaginez, 2000 hommes sur cinq étages qui pleurent pour la Palestine. »

Les gens sont complétement bouleversés par l’actualité et les événements politiques.Arts Canteen, organisateurs du festival de musique Elixir qui aura lieu du 12 avril au 2 mai, à Grand Junction à Londres, expliquent que l’élixir, du mot arabe al-'iksīr (également connu sous le nom d’élixir de vie), est un symbole de guérison. Le festival promet « un riche programme de théâtre, de musique, de célébrations de l’Aïd, d’ateliers et de nourriture, célébrant les arts contemporains du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord et d’Anatolie ».

Ce soir, le festival démarre avec la pop, jazz et soul de la chanteuse palestinienne Ruba Shamshoum, née à Nazareth. Demain, le 13 avril, le festival accueillera un concert communautaire gratuit et un repas, « To the Table Eid Special », avec un live tu Trio Yaz Fentazi.

Le 25 avril marque le retour d' Olive Jar : des spectacles, des contes et de la musique, l’expression créative autour du symbole le plus important de la région. « L’olivier nous enracine à la terre, à nos tables. Il nous offre de l’espoir ainsi que de la nourriture. Comme les olives, nos histoires cachées dans leurs bocaux, attendent d’être partagées. Certaines seront amères, et d’autres douces.

Accompagné par la chanteuse Ruba Shamshoum, cette performance raconte des histoires de toute la communauté MENA de Londres: de l’Irak-Assyrie au Liban, en passant par la Syrie, la Palestine, l’Irak et l’Algérie. Réalisé par Elias Matar, le spectacle avertit qu'il sera accompagné d’effets sonores forts, y compris des bruits d’explosions. Il y aura des références à la guerre, aux bombardements, à l’emprisonnement, au deuil et à la perte de la famille. Cet avertissement nous plonge dans la vie dela région et de la diaspora.

Le 19 avril, le chanteur kurdo-turc Olcay Bayir, considéré comme l’une des voix les plus intrigantes de la musique du monde, interprétera des chansons en turc, kurde, arménien et grec. Sa musique, « du flamenco au rebetiko », fusionne les mélodies et les sons de l’Anatolie, de la Méditerranée et des Balkans.  

Le duo écossais égyptien Ayoub Sisters– Sarah et Laura – présentera également sa musique distinctive d’influence arabe et celtique au violon et au violoncelle, tirée de leur album Arabesque. Elles l'ont auparavent interprété en direct au Royal Albert Hall de Londres, à l’Opéra du Caire et à l’Opéra de Dubaï.

On pourra également profiter du concert Tarab de Jamarabia Live Music Sessions (Aleppo Tarab Re-imagined), organisé par le violoniste syrien Bassel Hariri, également connu sous le nom d’Ustavi.

Hariri est né et a grandi à Alep, une ville connue comme le berceau dutarab au Moyen-Orient. Certes, on aurait tendance à penser que Le Caire, la patrie d’Umm Kathum, est le berceau du tarab. Pourtant, comme l’a expliqué Hariri, on y retrouve à Alep un niveau très élevé. « Tous les grands musiciens d’Égypte doivent se rendre à Alep. Les gens devaient s’y rendre et se faire valider par les cheikhs vivant à Alep.»

Les notes de la musique arabe traditionnelle et les maqams du tarab ne sont pas connus dans la musique occidentale.  Hariri, qui est également le fondateur d’Antika Culture & Diaspora, a pour but rencontre des cultures et de la musique qui apporte quelque chose de nouveau non seulement à une musique traditionnelle, mais aussi au public qui rencontre le tarab. Il ouvrira son concert le 13 avril avec une version tarab du « Boléro » de Maurice Ravel.

« Il est très difficile d'expliquer le tarab », a poursuivi Hariri, « lorsque vous êtes dans un moment de 'tarab', vous êtes touché par la force divine. Il y a une synergie entre vous et la communauté. Vous sentez que vous êtes en harmonie non seulement avec la musique, mais aussi avec l’endroit, les gens et la nourriture. C’est un sentiment d’euphorie très fort quand on est touché par ces maqams. La plupart d’entre eux proviennent de l’expérience vécue. Ils sont herités, mais ils gardent un lien très fort avec le quotidien.

C'est une musique qui apaise le malheur et nous offre un nouvel éveil dans ces moments de trouble. 

-Malu Halasa


Discussion du Frontline Club sur l’armement d’Israël.

Table ronde : Armer Israël
12 avril, Frontline Club, Londres — plus d’infos

Action on Armed Violence organisera une table ronde sur les ventes d’armes du Royaume-Uni et des États-Unis à Israël depuis le 7 octobre. Le panel, organisé par le Royaume-Uni et les États-Unis, discutera de la politique étrangère du Royaume-Uni et des États-Unis, en se demandant si le soutien continu à l’envoi d’armes à Israël est compatible avec le droit international des droits de l’homme.


Alaa Albaba sur son Instagram (avec l’aimable autorisation de l’artiste)
Alaa Albaba sur son Instagram (avec l’aimable autorisation de l’artiste).

Peintures et photographies de Palestine : une conversation avec les artistes Alaa Albaba et Rehaf Al-Batniji
13 avr.—Zoom — plus d’infos

Le deuxième événement virtuel du Consortium des artistes palestiniens accueillera les artistes visuels palestiniens Alaa Albaba de Ramallah et Rehaf Al-Batniji de Gaza (basé actuellement en France).

L'évènement explorera l’histoire de sa collection de peintures d'Albaba (le camp de réfugiés) et comment sa vie dans le camp d’Al-Amari a façonné son parcours artistique. Al-Batniji guidera également le public à travers ses photographies et la façon dont celles-ci montrent sa vie à Gaza, mais aussi comment elle utilise souvent la couleur comme outil de résistance pour montrer la vitalité de la vie à Gaza. Elle a publié de nombreux articles, notamment Le Monde Diplomatique et d’autres magazines internationaux. Jusqu’à récemment, elle formait de jeunes adolescents de la ville de Gaza à la photographie et au dessin avant de s’installer en France pour effectuer une résidence artistique à la Cité internationale des arts de Paris.


Semaine du Cinéma de femmes
Du 15 au 20 avril, Rainbow Theatre, Amman — plus d’infos

À l’occasion de la Journée internationale de la femme, ONU Femmes Jordanie, la Commission royale du film de Jordanie et leurs partenaires vous invitent à assister à la 12e édition de la Semaine du film de femmes, organisée par la directrice artistique Ghada Saba. Il y a deux spectacles par jour, et l’entrée est gratuite et sans réservation.


Fête de la culture Tahrir 2024 de la CUA
Du 17 au 22 avril, Place Tahrir de l’AUC, Le Caire — plus d’infos

Le Tahrir CultureFest 2024 de l’Université américaine du Caire (AUC) se concentrera sur le Caire, en connectant la communauté de l’AUC à la communauté du quartier du centre-ville. La semaine d’activités comprendra un large éventail d’événements et de programmes attrayants, notamment un bazar de livres, des expositions, des tables rondes, des ateliers, des événements organisés par des étudiants, des visites de quartier, des conférences publiques et des spectacles.

Le Bazar du livre offre une expérience enrichissante pour les amateurs de livres de tous âges. Il proposera une sélection variée de livres couvrant de nombreux genres et sujets, notamment l’histoire, la politique, les livres pour enfants, l’art et la fiction populaire, disponibles en anglais et en arabe. Les visiteurs auront l’occasion d’échanger avec des auteurs et d’autres amateurs de livres, de participer à des tables rondes stimulantes et de profiter des promotions.

La visite guidée de l’exposition des archives de l’AUC est une exploration immersive de la riche histoire de l’Université. À travers une sélection d’images d’archives, de vidéos, de documents et d’enregistrements audio, l’exposition met en lumière des aspects clés du passé de l’AUC, capturant l’essence de la vie étudiante, la beauté architecturale et les événements importants qui ont façonné l’Université.

Vous pouvez consulter le programme complet des événements ICI.


Conférence arabe de Harvard 2024
La Harvard Arab Alumni Association (HAAA) organise une conférence du 19 au 21 avril 2024.

Conférence arabe à Harvard : la plus grande conférence arabe en Amérique du Nord
Du 19 au 21 avril, Université Harvard, Boston, États-Unis — plus d’infos

Chaque année, l’Association des anciens élèves arabes de Harvard (HAAA), créée en 2001, organise la Conférence arabe à Harvard qui réunit plus d’un millier d’anciens élèves, de professeurs et de dirigeants sociétaux du monde arabe pour discuter des questions clés liées à la région, encourager un dialogue et des connexions significatifs, et inspirer des solutions créatives et durables.

Tout au long de l’événement, les participants auront l’occasion d’explorer un large éventail de sujets, notamment les arts et la culture, l’entrepreneuriat, la technologie et l’impact social. Participez à des tables rondes, des ateliers et des séances interactives animés qui favorisent des échanges significatifs et inspirent de nouvelles idées.

Pour plus d'informations, cliquez ICI.


Insurgent Transmissions : une série mensuelle de films sur la Palestine
Avril — Juillet 2024 — Mizna —Bryant Lake Bowl, États-Unis — plus d’infos

Insurgent Transmissions est une série de films qui met en lumière l’expérience variée des Palestiniens. Réalisés par des réalisateurs palestiniens contemporains, les films montrent les nombreuses façons dont les Palestiniens résistent à l’occupation dans leur vie quotidienne et leurs pratiques cinématographiques. Selon les organisateurs, Mizna, les films « mettent en lumière les œuvres des cinéastes palestiniens contemporains, amplifiant leurs voix à travers leurs films et les films qu’ils considèrent comme les plus urgents en ce moment d’effacement culturel et de génocide ».

La projection d’avril mettra en vedette le drame familial touchant d’Annemarie Jacir, « Wajib », brillamment interprété par Mohammad et Saleh Bakri, père et fils.

La programmation se déroulera sous la forme d’une série de transmissions : Jacir choisit le deuxième film d'un cinéaste qui sélectionnera à son tour le prochain film, et ainsi de suite. L'argent des entrées sera destiné à soutenir les cinéastes palestiniens. Il y aura d’autres moyens de collaborer par le biais de collectes de fonds urgentes à Gaza.

Pour la liste complète des films, voir ICI.


Événement de traduction 24 avr. 2024
Traduction, New York.

Traduction : analyse du processus créatif entre auteurs et traducteurs
24 avril, Jefferson Market Library, New York —Événement hybride — plus d’infos

La connectivité mondiale se développe et la traduction d'œuvres sont très recherchées par les éditeurs du monde entier, en particulier dans les pays qui font face à plus de censure et restrictions d’expression.

Rejoignez Annelise Finegan, directrice des études supérieures en traduction et interprétation à l’Université de New York ; Antonina W. Bouis, traductrice primée et conseillère en stratégie culturelle ; Ernesto Mestre-Reed, boursier Guggenheim Fiction et Karen Phillips, directrice exécutive de Mots sans frontières. Dans une discussion autour du processus créatif et de la façon dont la traduction permet une plus grande sensibilisation et une plus grande représentation culturelle.

Cet événement s’inscrit dans le cadre du Festival de littérature mondiale de la New York Public Library, qui célèbre les livres et les écrivains du monde entier et reflète les langues parlées dans nos communautés. Découvrez ce que nos clients lisent dans différentes langues, les ressources offertes par la bibliothèque, les événements gratuits, les recommandations de livres, et plus encore.


(de) Construction du personnage virtuel dans les films
24 avr., NYUAD Campus, Conference Center, Abu Dhabi — plus d’infos

Au cours des trente dernières années, les personnages virtuels sont devenus un élément de base de la technologie cinématographique. Luca Fascione examine le processus de conception d’un personnage de film qui captive le public dans un long métrage contemporain et explore également le développement historique de cette technologie ainsi que les choix esthétiques et structurels qui ont conduit à la compréhension actuelle de ce qu’est ou devrait être un personnage virtuel.


Discuter autour d'un livre (en ligne et en personne)

Fady Joudah et Hala Alyan, poètes. Asclépiade Série transnationale .

Littérature transnationale : Fady Joudah et Hala Alyan
11 avril — Zoom — plus d’infos

Participez à cette série de littérature transnationale organisée par Brookline Booksmith, Milkweed Editions et AGNI pour un événement virtuel avec le poète Fady Joudah afin de discuter et de célébrer la sortie de [...]. Il s’entretiendra avec l’écrivaine Hala Alyan.

Le sixième recueil de poèmes de Fady Joudah commence par « Je suis une affaire inachevée », qui articule le pathos continu du peuple palestinien. Interprétant la survie, dans [...], Joudah raconte l’effacement quotidien et historique de la Palestine et insiste sur le fait d'exister à l’intérieur et à l’extérieur de la terre ancestrale.

Lisez la critique de [...] par Eman Quotah, publiée par TMR ici.


Salman Rushdie s’entretient avec Suleika Jaouad.

Salman Rushdie en conversation avec Suleika Jaouad
16 avril — Vimeo — plus d’infos

Rejoignez Random House Publishing Group et PEN America pour une conversation intime avec Salman Rushdie, écrivain de renom, défenseur de la liberté d’expression et lauréat du Booker Prize. Ses mémoires Knife : Meditations After an Attempt Murder, un récit saisissant de la survie d’une tentative d’assassinat 30 ans après que la fatwa ait été ordonnée contre lui. Dans des détails inoubliables, Rushdie s’exprime pour la première fois sur les événements traumatisants du 12 août 2022.

Suleika Jaouad animera l’événement et présentera une séance de questions-réponses avec le public et un mot de clôture de PEN America. Lors de votre inscription à l’événement, vous aurez la possibilité de poser une question, à laquelle vous trouverez peut-être une réponse au cours de la conversation.


Conversation culturelle copte.
Conversation culturelle copte.

Culture et communauté copte : vies quotidiennes, temps qui changent.
16 avril — AUC Press — Zoom — plus d’infos

L’American University in Cairo Press organise une discussion virtuelle sur le livre de Mariam Ayad, Coptic Culture and Community : Daily Lives, Changing Times (AUC Press, 2023).  La discussion explorera les expériences quotidiennes des chrétiens coptes de la fin de l’Antiquité à nos jours.

L’événement accueillera Mariam F. Ayad, professeure agrégée d’égyptologie à l’Université américaine du Caire et rédactrice en chef du livre, en conversation avec les contributeurs du livre, Carolyn Ramzy, professeure agrégée d’ethnomusicologie à l’Université Carleton, en Ontario, au Canada, et Helene Moussa, conservatrice bénévole au Musée copte du Canada.


Panneau de futurisme arabe .

Trois livres sur le futurisme arabe
18 avril — The Arab British Center — Londres — plus d’infos

Écoutez les auteurs et les rédacteurs de la série Futures Past de Comma Press sur l’imagination de l’avenir des nations arabes. Les contributeurs de trois de ces collections parleront de leurs histoires et de ce que cela signifie d’imaginer l’avenir des nations arabes. La rédactrice en chef de Palestine + 100 Basma Ghalayini sera accompagnée par Raph Cormack et Ahmed Naji (Egypte + 100), Selma Dabbagh (Palestine + 100) et Hassan Abdulrazzak (Irak + 100).


Hisham Matar dans « Mes amis ».
Hisham Matar parle de « Mes amis ».

Hisham Matar en conversation avec Erica Wagner
20 avr. — Cambridge Literary Festival, Royaume-Uni— plus d’infos

L’auteur de The Return, candidat au prix Booker et lauréat du prix Pulitzer, parle de Mes Amis, su nueva novela magistral e intensamente conmovedora que sigue a tres amigos que viven en el exilio político, las emociones ligadas a la patria y las amistades profundas.

Lisez la critique d’Adib Raghal, publiée par TMR ici.


Cinq conversations : Comment écrire sur la guerre.
Cinq conversations : Comment écrire sur la guerre.

Un livre, cinq conversations : Comment écrire sur la guerre
Samedi, 20 avril — 15 juin — En ligne — plus d’info

À l’occasion de la publication de l’anthologie du magazine Warscapes, Insurgent Feminisms : Writing War, The Radical Books Collective organise cinq conversations qui abordent le riche éventail de genres et de sujets du livre, ainsi que ses nombreux contributeurs talentueux.

Insurgent Feminisms : Writing War (Daraja Press, 2024, édité par Bhakti Shringarpure et Veruska Cantelli) avance vers un nouveau paradigme de l’écriture de guerre en se concentrant sur le genre. Ces perspectives féministes et queer sur la guerre proviennent de régions et de positions qui désobéissent aux règles de l’écriture de guerre. Le livre présente des reportages, des fictions, des mémoires, de la poésie et des conversations de 60 écrivains, couvrant plus de 20 régions, principalement dans les pays du Sud.

 

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