Littérature et arts du centre du monde
Zahra Hankir livre sa critique de la traduction anglaise, par Hazem Jamjoum, du roman de la romancière palestinienne Maya Abu Al-Hayyat « No One Knows Their Blood Type » (Personne ne connaît son groupe sanguin).
Une habitante de Beyrouth questionne la condition persistante de son pays envers son voisin après le 7 octobre et les répliques alarmantes qui ont suivi.
Dans son dernier essai, l'écrivain Jenine Abboushi nous rappelle que le nettoyage ethnique et la destruction de la société palestinienne n'ont pas commencé le 7 octobre.
Layla AlAmmar contemple les bruits du passé et comment ils pourraient aujourd'hui être entendus comme un récit cohérent.
Noshin Bokth critique un classique de la littérature palestinienne qui se déroule à Naplouse et qui traite de la résignation et de la résistance sous l'occupation militaire israélienne.
Nora Lester Murad s'entretient avec les coauteurs palestiniens Ahed Tamimi et Dena Takruri au sujet de "They Called Me a Lioness".
Dans ces récits tirés de ses mémoires passionnés, Steve Sabella s'efforce de décoloniser l'esprit et de libérer son identité.