Interview : Oorvi Sharma, chercheur et designer en architecture
Rabi Georges s'entretient avec l'architecte novateur Oorvi Sharma à Abu Dhabi.
Rabi Georges s'entretient avec l'architecte novateur Oorvi Sharma à Abu Dhabi.
Lama Elsharif constate que les terribles inondations de Derna se révèlent un surprenant catalyseur d'unité dans une nation marquée par des décennies de conflits et de divisions.
Rana Asfour parle des solutions d'intervention des Émirats arabes unis pour des bâtiments durables et efficaces sur le plan énergétique, ancrés dans la ville.
Nazli Tarzi passe en revue un voyage d'aventure et un récit sur le changement climatique qui montre ce que l'humanité risque de perdre avec la mort d'un grand fleuve.
Les rédacteurs expliquent pourquoi ils ont choisi le thème de la TERRE pour le 32e numéro de The Markaz Review.
Hassan Abdulrazak, dramaturge irakien basé à Londres, s'enthousiasme pour l'événement théâtral Shubbak 2023, qui se déroulera du 23 juin au 9 juillet.
L'écrivain-photographe Susan Schulman documente la dévastation climatique qui a poussé de nombreux Irakiens à l'exil.
Mariam Elnozahy passe en revue la nouvelle exposition de Mosaic Rooms, à Londres, qui porte sur l'écologie et la politique au Liban.
Rana Asfour parle à un Emirati de ses idées et de son évolution en tant qu'artiste.
Farah Abdessamad est fascinée par un documentaire sur le changement climatique consacré à des faiseurs de pluie en herbe aux Émirats arabes unis.
La chroniqueuse Hadani Ditmars raconte sa rencontre avec des étrangers à la plage pendant la saison des incendies en Colombie-Britannique et constate que la Syrie et la Turquie sont des patries communes.
Le romancier Omar El Akkad (What Strange Paradise, American War) prévient que les feux de forêt et autres catastrophes climatiques créent les conditions d'une crise mondiale des réfugiés pour laquelle le monde n'est pas préparé.
Megan Marshall parle de vivre avec les objets perdus dans l'incendie de Caldor et de revisiter Henry David Thoreau.
Le chroniqueur Iason Athanasiadis se souvient de 2020 — pas tant pour la pandémie ni le chaos de Trump — pour ce que l'humanité a fait subir à la nature.