Jours d'oranges - Thawra de Libye
Yesmine Abida se souvient de la fin du séjour de sa famille à Tripoli et du début d'une vie sans centre.
Yesmine Abida se souvient de la fin du séjour de sa famille à Tripoli et du début d'une vie sans centre.
Zein El-Amine critique le premier recueil de nouvelles "originales et irrévérencieuses" écrites en anglais par l'écrivain égyptien Youssef Rahka.
Leila Aboulela, romancière originaire du Caire, tisse la triste histoire de l'aliénation de deux sœurs à la veille du soulèvement de la place Tahrir.
L'un des écrivains iraniens contemporains partage ses réflexions avec un ami occidental sur la direction que prend le pays à la suite des manifestations de Mahsa Amini.
Karim Goury se délecte du nouveau film du réalisateur suédois égyptien Tarik Saleh.
Francisco Letelier se souvient de ses identités footballistiques au Chili et aux États-Unis, tout en se penchant sur la politique internationale du jeu.
The Markaz Review se joint à 15 lauréats du prix Nobel de littérature et à des millions de personnes dans le monde pour demander la libération immédiate d'Alaa Abd El-Fattah.
Aimee Dassa Kligman critique le dernier roman de l'auteur exilé de "L'immeuble Yacoubian".
Notre chroniqueuse sur le terrain à Tunis, Emna Mizouni, rapporte à contrecœur que la fragile démocratie tunisienne semble condamnée.
Sarah Ben Hamadi critique un nouveau long métrage tunisien qui met en balance les succès et les échecs de la révolution.
L'écrivain et traductrice Nada Ghosn s'entretient avec l'illustrateur d'un nouveau roman graphique qui raconte l'un des premiers soulèvements de la Tunisie, en 1984, présageant la révolution de Jasmin.
Le rédacteur invité de TMR, Aomar Boum, admire le mouvement croissant de la caricature politique en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
Le roman onirique de Mohamed Kheir emmène les lecteurs dans un voyage autour de l'Égypte après l'échec du printemps arabe.
Claudia Wiens, ancienne photographe basée en Égypte et en Turquie, documente l'art de rue du printemps arabe.
La chroniqueuse Melissa Chemam estime que nous devrions adopter une vision à long terme des soulèvements arabes et nous souvenir des nombreuses révolutions françaises en guise de précédent.