Le festival Arabesques célèbre les arts arabes pour la diversité culturelle
Célébrant la 19e Rencontre des Arts du Monde Arabe, le Festival Arabesques se tiendra du 10 au 22 septembre 2024 à Montpellier.
Célébrant la 19e Rencontre des Arts du Monde Arabe, le Festival Arabesques se tiendra du 10 au 22 septembre 2024 à Montpellier.
Le festival de Bīylmawn a récemment fait son retour, mais tout le monde n'est pas satisfait de ce carnaval hautement stylisé et artistiquement réimaginé.
Paris a permis à Nass el Ghiwane de produire un nouveau style de musique qui ferait vibrer le Maghreb et l'Europe, écrit Benjamin Jones.
Alors qu'une centrale solaire envahit une ville du désert marocain, reconfigurant sa configuration visuelle et territoriale, il est à craindre qu'elle n'éclipse sa riche histoire culturelle.
Brahim El Guabli nous invite à étudier les déserts pour pousser notre réflexion au-delà des notions ordinaires d'espace et de lieu.
Sophie Kazan passe en revue une exposition haute en couleur qui transmet l'histoire et la culture marocaines par le biais de peintures, de céramiques, de photographies, de films des années 1960 et 1970, de textiles tissés et d'affiches.
Aomar Boom décrit la place centrale qu'occupent les ânes et les mules dans la vie sur le terrain impitoyable des montagnes du Haut Atlas, dévastées par les tremblements de terre.
Brahim El Guabli affirme que les survivants des catastrophes au Maroc doivent pouvoir communiquer dans leur langue maternelle.
L'universitaire amazigh marocain Brahim El Guabli a appris que sa famille à Ouarzazate avait perdu sa maison dans le tremblement de terre qui a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi.
Aomar Boum, universitaire marocain originaire de la région du tremblement de terre, et Sarah A. Stein, sa collègue de l'UCLA, présentent le contexte des communautés des montagnes de l'Atlas touchées par la secousse.
Le plus grand festival de musique arabe et nord-africaine a lieu chaque année à Montpellier : Arabesques est un véritable bouillon culturel de deux semaines.
Brahim El-Guabli explique comment les militants amazighs ont utilisé la traduction pour revitaliser leur langue et leur culture menacées.